C'est qui les gens sur les photos ?
David Gueyffier.
Deux mots pour me résumer : du
roc et du rock ! Voilà ce qui anime mes loisirs, grimper et chatouiller mes tympans avec des guitares saturées. L'écriture et la photo ont aussi donné naissance
à ce site, qui au fil des ans a pris de l'épaisseur et de l'audience. Le VTT et la plongée sous-marine se sont ajoutés à ces activités ces dernières années.
Quelques coups de coeur :
- le Corno-Stella, pour son rocher fabuleux et ses somptueuses escalades, mais c'est globalement tout le groupe de l'Argentera
que j'affectionne particulièrement pour son ampleur et son coté sauvage.
- le vallon de Gialorgues en Tinée ; superbe à l'automne lorsque les prairies roussissent, austère et
froid en hiver pour y faire des cascades ou pour accéder en ski aux hautes cimes du secteur, magnifiquement fleuri à la fin du printemps.
- la face ouest de la Cougourde, symbole de l'inaccessible pour le néophyte, elle offre cependant des itinéraires très
abordables mais surtout très élégants, avec de somptueuses envolées de dalles sur plus de 400 mètres.
- les aiguilles des Portettes, du granit comme à Chamonix mais à un jet de pierre d'Isola 2000.
- la haute Ubaye, pour sa nature quasi-intacte et ses magnifiques voies de quartzite.
- la Polynésie Française, où je vis actuellement, avec ses îles de rêve et ses plongées d'exception.
Partenaire : Bruno Duquesnoy.
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En général, c'est lui qui doit supporter mes oublis de casse-croûte (donc partager le sien) mais comme c'est quelqu'un de sympa,
il semble s'en accomoder fort bien, en tout cas toujours avec bonne humeur. En permanence à l'affût d'une ligne vierge qui pourrait
recevoir notre visite, c'est un fin connaisseur du massif. Sa maîtrise parfaite de la langue de Dante et ses origines piémontaises sont un atout précieux
pour communiquer sur le versant italien du massif.
Très rigoureux dans sa préparation de course, avec lui, l'échec est rare.
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Partenaire : Antoine "Rock'n Rolle Train".
Pourquoi ce surnom ? Parce qu'Antoine a des goûts musicaux très sûrs, il aime entendre AC/DC dans l'autoradio sur les routes de l'arrière-pays. Et
puis l'image du train lui va bien parce qu'il avance le diable. Le septième degré est son jardin (le huitième n'est qu'une question de mois tout au plus) alors
c'est le compagnon idéal pour les voies dures. Si le vieux coince, le jeune peut prendre le relais. Et toujours avec une bonne rigolade à la clé.
Un peu tête en l'air, il se débrouille généralement pour me laisser un jeu de dégaines ou une panoplie complète d'alpiniste dans le coffre de ma voiture.
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